

Fin 2017, l'artiste Dominique Degueldre se prend d'affection pour un objet désuet, oublié à la fois symbolique et emblématique : la potiche.
A l'instinct, elle écrit ce jour - là sur la surface lisse et blanche d'une potiche en porcelaine de Limoges : Je ne suis pas une potiche.
Cet objet devient son leitmotiv qu'elle décline à l'infini.
Chacune de ses créations se raconte et l'artiste sait parfaitement là où elle veut nous emmener.
Ce sont aussi toutes ces histoires que l'on retrouve dans la collection de bijoux JNSPUP,
"J'ai créé un bijou qui me ressemble, qui rallie toutes les femmes, un bijou qui encourage la liberté universelle des femmes, un bijou qui leur dit qu'elles sont libres".
Un bijou raconte une histoire, il parle de nous, nous ressemble, exprime notre personnalité alors l'artiste avec sa vision audacieuse a imaginé une collection, conçue comme un manifeste, une collection de bijoux qui incarne tous les possibles, qui symbolise l'esprit des femmes libres aimées, respectées. Il se porte avec fierté, liberté et féminité.
Cette collection, ce porte-bonheur est avant tout porté par la soif de liberté de l'artiste, l'esprit de la fantaisie, le refus des convenances ou la recherche de la dignité.


Laura, chaque jour, #jenesuispasunepotiche

“Très peu d'hommes et de femmes existent par eux-mêmes, ont le courage de dire oui ou non par eux-mêmes." Marguerite Yourcenar

Jean - Guillaume, chaque jour, #jenesuispasunepotiche

Laura, chaque jour, #jenesuispasunepotiche
…”Que renferment donc ces fameuses potiches ?
A vous d’y placer vos propres intuitions, mais on peut déjà sans risque y reconnaître la patte de l’ironie, le vent de la colère, les brumes de la nostalgie, l’exubérante jubilation de la fantaisie, cette forme si pure de liberté. Et puis la suprême élégance qu’a le talent quand il ne se la pète pas, et préfère aux discours prétentieux, trop savamment construits pour être honnêtes, l’authentique spontanéité du geste artistique.
Ce que renferment ces potiches, on appelle ça l’identité, l’intimité, “… Christophe Sancy












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